Fellation ou cunnilingus : Lequel demande plus d’efforts ?

Il est beaucoup plus difficile de manger une chatte que de faire une pipe

Cette affirmation vient d’un mangeur de chatte et d’un suceur de bite professionnel. Oui, je peux faire une gorge profonde, et je suis vraiment douée pour ça, donc je pèse ma décision en tenant compte de cela.

Le problème, c’est que pour bien manger une chatte et amener une fille à l’orgasme, il faut utiliser les deux mains et la bouche pendant tout le temps, sans arrêt. Vous n’avez pas besoin de prendre l’air. Vous ne relâchez pas vos mains. Vous n’arrêtez pas de bouger votre langue. Vous trouvez simplement le rythme qui lui convient et vous continuez ainsi, en allant plus vite ou plus lentement si elle le veut, sans vous arrêter jusqu’à ce qu’elle jouisse.

Lorsque vous sucez une bite, la paresse a beaucoup plus de place. Vous pouvez caresser la bite du gars d’une main, changer de main quand l’autre se fatigue, et la bite entre et sort de votre bouche : Vous avez donc plus d’occasions de respirer. Parce que votre visage n’est pas pressé contre une surface plane avec deux murs de cuisses qui le maintiennent en place.

Il m’est arrivé de sortir d’un cunnilingus intense avec une fille et de me sentir comme si je venais de courir un semi-marathon. Et tout ce que je désirais, c’était faire une sieste.

Même après mes pipes les plus intenses, après avoir craché partout, après avoir fait du deepthroating et m’être fait facefuckée, j’ai encore beaucoup d’énergie pour faire d’autres rapports sexuels.

Morale de l’histoire : Les gars, ne soyez pas paresseux, mangez votre copine.

Sucer une bite peut demander un réel effort, mais voilà : la quantité de bite que chaque femme peut prendre varie énormément, tout comme les techniques qu’elles emploient. Si votre délicate fleur maîtrise totalement son réflexe de régurgitement et de respiration, vous pouvez vous servir de son visage comme d’un Fleshlight. Dans ce cas, il y a peut-être moins de travail réel.

Manger une chatte est plus difficile parce que sucer une bite, c’est vraiment sucer une bite. Je veux dire, vous pouvez utiliser vos mains si vous le voulez et vous pouvez lécher ses couilles à l’occasion, mais des études récentes montrent que 100% de tous les hommes nés n’importe où, n’importe quand, sont à peu près totalement d’accord avec le fait qu’avoir son pénis à l’intérieur de votre bouche, c’est assez suffisant.

Mais manger de la chatte, ce n’est pas seulement manger de la chatte. C’est un buffet de parties du corps impliquant les lèvres, la langue, les mains, les doigts et parfois le nez.

Je dirais qu’environ la moitié des fois où j’ai terminé une session réussie de cunnilingus, j’étais complètement épuisé. La litanie des blessures : frenulum déchiré et enflammé à cause de la pénétration et de la poussée de la langue, mâchoire douloureuse/TMJ à cause de la répétition des mouvements nécessaires avec la bouche ouverte, doigts et mains faibles et douloureux à cause de la répétition sur son clitoris et/ou de la poussée interne. Et pendant tout ce temps, vous dirigez cette symphonie à l’unisson et, avec un peu de chance, vous atteignez l’objectif de la faire jouir profondément et glorieusement avant que l’une de ces parties du corps ne cède complètement et que vous soyez obligé d’attraper votre bras droit paralysé avec votre main gauche et d’utiliser littéralement votre propre bras comme un godemiché.

C’est ça le dévouement.

Lorsque vous donnez un cunnilingus à une fille, vous êtes généralement coincé dans une position (la plupart du temps, dans une position inconfortable), et deuxièmement, les filles ont besoin de plus de temps que les hommes. À un moment donné, votre mâchoire commence à vous faire mal, et vous sentez votre jambe ou votre main s’engourdir à force de garder le corps dans la même position pendant une période prolongée.

Et vous voyez, si vous faites une pause, la femme se détend et vous devez alors tout recommencer depuis le début (ha ha) !

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Conclusion

Réflexion d’une personne qui a déjà fait les deux : J’ai toujours pensé qu’avec les hommes, cela avait beaucoup à voir avec la taille. Plus c’est gros, plus c’est dur, la mâchoire devient crampeuse et vous êtes constamment inquiet de la façon dont ils vont réagir à vos dents. Plus le pénis est petit, plus c’est facile et mieux c’est pour lui, honnêtement.

En ce qui concerne la chatte, il y a beaucoup de choses à faire pour atteindre l’orgasme, généralement des doigts dans plusieurs orifices, le maintien de la tête en l’air, le léchage sur/autour du clitoris ou de l’ouverture vaginale. Mais d’après mon expérience, les mâchoires peuvent se détendre lorsque le jeu de la langue est plus lent, ce qui est plus efficace sur un clito que sur la tête d’un pénis.

Sucer un pénis demande plus de répétition et de constitution. Manger une chatte demande plus de dextérité. Je dirais que sucer une bite est plus difficile à faire physiquement, mais que manger une chatte est plus difficile à bien faire.

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